mercredi 7 septembre 2011

MERCURE SORTANT DES MINES BRITANNIQUES DU CANADA

LE MERCURE DANS LA PLUIE

Le mercure est émis dans l'atmosphère principalement par les grandes centrales électriques au charbon. Le mercure dans l'air est habituellement de préoccupation directe peu. Mais quand le mercure est lavé de l'air par la pluie dans nos ruisseaux et des lacs, il est transformé en une forme hautement toxique qui peut s'accumuler dans les poissons. Les gens sont ensuite exposés au mercure en mangeant du poisson.


Le mercure (Hg) fait partie de la famille des métaux lourds, comme le cadmium, le zinc ou le plomb. Le mercure possède trois états de valence (0, I, II). Le cation mercurique Hg2+ est le plus stable et se combine tant aux anions inorganiques (S-, Cl-, O2- et OH-) qu’aux composés organiques (pour former notamment du méthyle mercure MeHg, très toxique pour les organismes vivants). Cet élément forme avec de nombreux autres métaux (or, argent, étain) des alliages, appelés amalgames. Il présente également une forte affinité pour les groupes sulfhydryles (WHO, 1991).



=============================

Le trafic organisé pendant la guerre du Vietnam.

Nous avons peut être là, un des plus grand secret de la guerre du Vietnam. C'est grâce à cette guerre, que la CIA a pût prendre le contrôle du "Triangle d'Or" au cours de cette période. Ensuite, avec l'aide de différents éléments du crime organisé, ils ont expédiées d'énormes quantités d'héroïne provenant de cette région vers les Etats-Unis et l'Europe.



Comme le mercure est plus lourd que l'iodure d'argent: alors ils l'utilisent pour créer des orgages. Notons également qu'il s'agit du seul métal dont la température d'ébullition est inférieure à 650 °C. Les vapeurs de mercure sont nocives. Le mercure est le seul élément en dehors des gaz rares à exister sous forme de vapeur monoatomique Hg0. En présence d'humidité, le mercure subit une oxydation. Le mercure tend à former des liaisons covalentes avec les composés soufrés.

Le mercure est utilisé pour la fabrication des amalgames dentaires couramment appelés plombages (bien que ne contenant pas de plomb)


Le mercure n’est pas un oligo-élément. Il est toxique et éco-toxique sous toutes ses formes organiques et pour tous ses états chimiques. Son utilisation est souvent réglementée, voire interdite, comme c'est le cas en Norvège

Au degré 0, il est toxique sous forme de vapeur. es ions de mercures sont toxiques.... L’effet de la toxicité du mercure chez l’homme se dévoilant sous sa forme vapeur commence par les voies respiratoires, pour se solubiliser dans le plasma, le sang et l’hémoglobine. Par le sang, il attaque les reins, le cerveau et le système nerveux. Le risque chez les femmes enceintes est aussi présent : cette toxine se déplace facilement au travers du placenta pour atteindre le fœtus. Même après la naissance les risques perdurent puisque le lait maternel est aussi contaminé. L'activité bactérienne en milieu aquatique convertit une partie du mercure dissous, essentiellement en monométhylmercure HgCH3.

Le mercure semble toxique pour toutes les espèces vivantes connues. Le mercure émis sous forme de vapeur est très mobile dans l’air, et reste pour partie mobile dans le sol et les sédiments. Il l’est plus ou moins selon la température et le type de sol (il l’est moins en présence de complexes argilo-humiques et plus dans les sols acides et lessivables). Ainsi dit on parfois qu’une simple pile-bouton au mercure peut polluer 1 m³ d'un sol européen moyen pour 500 ans, ou 500 m³ pour un an. Les animaux le transportent aussi (bioturbation). Le mercure n’est cependant pas biodégradable ni dégradable. Il restera un polluant tant qu’il sera accessible pour les êtres vivants.


Le méthylmercure est 100 fois plus toxique que le mercure inorganique surtout pour le cerveau et les reins. Il faut rappeler que le mercure est le seul métal liquide et volatil à température ordinaire et c'est le seul qui soit dans cet état à 0°. A l'état gazeux, il est incolore.

Le mercure est un des métaux les plus volatils. Malgré une tension de vapeur faible, le mercure émet, dès la température ordinaire, des vapeurs en quantité appréciable : à 24° la concentration de vapeur saturante est de 18 mg/m 3, à 30° elle est de 29,5 mg/m 3, à 40° elle est de 62,6 mg/m 3, à 100° elle est de 2360 mg/m3. [INRS 1997] [4] [6]. Il faut savoir qu'il suffit d'une gouttelette de 2,5 mm de diamètre pour amener la concentration atmosphérique d'une pièce de 50 m 3 à 400µg Hg/m 3 et que 20 g de déchets d'amalgames provoquent dans la même pièce une pollution atmosphérique de 40 µg/m 3 à 22°C. La valeur admise par l'OMS pour une exposition de 8 heures par jour et 5 jours par semaine est de 2.5 µg/m3. La valeur limite pour une exposition ponctuelle (inférieure à 15 mn) aux vapeurs de mercure est de l 50µg/m 3 (INRS 1989). Ceci signifie qu'au-delà de ce temps d'exposition, il y a dangers.


La vapeur de mercure est utilisée dans la fabrication de lampes fluorescentes, comme conducteur.

Le mercure est un élément chimique de symbole Hg et de numéro atomique 80. C'est un métal argenté brillant dont la particularité est de se présenter sous forme liquide dans les conditions normales de température et de pression, conditions dans lesquelles il se vaporise toutefois assez aisément. Son symbole Hg provient du latin, lui-même emprunté au grec, hydrargyrum qui signifie « argent liquide » (ὕδωρ, l'eau et ἄργυρος, l'argent).
Très dangereux, car il est un puissant neurotoxique et reprotoxique sous ses formes organométalliques (monométhylmercure et diméthylmercure), de sels (calomel, cinabre, etc) et sous sa forme liquide en elle-même. Il cause une maladie dite « hydrargisme » (voir également Maladie de Minamata), et est soupçonné d'être une des causes de la maladie d'Alzheimer, syndrome de fatigue chronique, fibromyalgie et autres maladies chroniques



Tous les hydrocarbures fossiles proviennent de cadavres d'organismes qui ont dans le passé bioaccumulé un peu de mercure. On en trouve dans tous les hydrocarbures fossiles, dont le gaz naturel31 Ils sont plus ou moins « riches » en mercure, avec des teneurs variant fortement selon leur provenance et selon les filons.


Séquelles industrielles et séquelles de guerre ; Bien des années après, le mercure issu de la fabrication des munitions (fulminate de mercure utilisés dans des milliards d'amorces de balles, obus, cartouches, mines, etc.) par les militaires, chasseurs ou adeptes du tir, comme celui des sols pollués par les industries, parfois anciennes (chapellerie, miroiteries, cristalleries, ateliers de doreurs..) peuvent encore poser de graves problèmes. Des pollutions chroniques comme celle de Minamata peuvent laisser des séquelles durables socio-économiques, écologiques et humaines.

Il est ce qu'on appelle un contaminant transfrontalier, par exemple de nombreux lacs du Québec sont pollués dû au transport de particules de la région Nord Ouest de l’Amérique du Nord tel le sud de l’Ontario ainsi que le nord des États-Unis. La teneur en Hg aurait doublé depuis les 100 dernières années, de ce fait les pêcheurs sportifs de cette province doivent mesurer leur consommation de poisson venant de cette région.


==============================

Les principaux signes cliniques par ordre chronologique sont les suivants :

  • Troubles de la mémoire : 27 cas soit 69,2%. Parmi eux, 27 oublient le nom des personnes 12 oublient le nom des rues, des places, 2 oublient les noms des produits, 1 a une incapacité à calculer, et l oublie les faits anciens.
  • Intolérance à la lumière brillante : 21 cas soit 53,9%.
  • Troubles du sommeil : 18 cas soit 46,2%. Parmi eux 9 souffrent d'insomnies. 5 font des rêves agités, 5 se plaignent de nuits trop courtes et 1 fait des cauchemars.
  • Fatigue passagère : 18 cas soit 45%.
  • Mauvaise haleine : 18 cas soit 45%.
  • Rétractions gingivales : 17 cas soit 42,5%.
  • Digestion difficile : 16 cas soit 40%.
  • Transpiration nocturne : 16 cas soit 40%. Parmi eux, 13 soit 32,5% ne sont pas soulage par cette transpiration.
  • Besoin fréquent d'uriner : 15 cas soit 38,5%.
  • Leucorrhées : 6 cas soit 40% du groupe des 15 femmes.
  • Enduit sur la langue : 14 cas soit 35,9%.
  • Troubles oculaires : 14 cas soit 35,9%.
  • Diminution de fouie : 15 cas soit 37,5%.
  • Diarrhées : 12 cas soit 30%.
  • Hypersalivation en général : 12 cas soit 30%.
  • Maux de tête : 12 cas soit 30%.
  • Langue qui garde l'empreinte des dents : 10 cas soit 25,6%.
  • Régurgitations : 11 cas soit 27,5%.
  • Épuisement : 11 cas soit 27,5%.
  • Fatigue chronique : 10 cas soit 25,6%.
  • Douleurs nocturnes : 9 cas soit 22,5%.
  • Hypersalivation nocturne : 8 cas soit 20%.
  • Soif d'eau froide : 8 cas soit 20%.
  • Brûlure d'estomac : 8 cas soit 20%.
  • Odeur caractéristique des urines : 8 cas soit 20%.
  • Photophobie : 7 cas soit 17,8%.
  • Saignement des gencives : 7 cas soit 17,5%.
  • Troubles des paupières :7 cas soit 17,5%.
  • Tremblements : 6 cas soit 15%.
  • Constipation : 6 cas soit 15%.
  • Fausse couche : 2 cas soit 13,4% du groupe des 15 femmes.
  • Besoin fréquent d'uriner et peu : 4 cas soit 10,2%.
  • Pathologie rénale : 4 cas soit 10%.
  • Urines troubles : 4 cas soit 10%. Ces patients ne souffrent pas de pathologie rénale.
  • Inflammation gingivale : 4 cas soit 10%.
  • Nausées : 4 cas soit 10%.
  • Angines : 4 cas soit 10%.
  • Brûlure urinaire : 3 cas soit 7,5%.

Aucun commentaire: